Hadopi s’acharnera à scanner (au départ) quelques désuets réseaux P2P en clair. Or,d’autres méthodes de partage de fichiers numériques existent et sont hors de son champ d’application. Sans rentrer dans les VPN et réseaux P2P anonymes et chiffrés, le téléchargement direct de fichiers sur des serveurs étrangers ou publics constitue actuellement un bon filon. Voici donc des liens :
- pour télécharger des mp3 : OnMusic.me
- pour les films : DDLFinder.net
Hadopi failed again. Merci l’UMP.
J’aurais tendance à penser que les veaux sont ceux qui téléchargent les bouses culturelles dispos sur les deux sites.
Pourquoi ne pas pointer les lecteurs vers la communauté d’artistes libres plutôt que vers ces liens au contenu assez médiocre.
( je suppose ici que vous savez vous servir d’un moteur de recherche…vite fait ===> subflow.net)
Ce post est le témoignage direct que défendre le logiciel libre peut conduire parfois à une abhération consumériste totale là où la communauté du libre pourrait aussi offrir une alternative culturelle plus…enrichissante .
C’est d’autant plus triste que cette alternative existe déjà mais que vous ne semblez pas le savoir malgré votre présence sur une voie dite libre…
Un peu plus de cohérence serait la bienvenue…
Décrier l’hadopi n’est pas suffisant, il est aussi nécessaire de s’ouvrir l’esprit et de sortir du rôle de consommateur shooté aux productions industrielles aliénantes.
cordialement
Je ne saisis pas la relation directe propriétaire == bouse et libre == qualité que tu sembles porter. Les majors contraingnent-elles les artistes à sortir des oeuvres de médiocre qualité? La licence libre suffit elle à faire émerger les talents? Rien n’est moins sur.
J’ai pas mal supporté Jamendo il fut un temps mais cela ne me rend pas pour autant sourd à toute autre source de musique. Un logiciel libre peut être une alternative à un logiciel proprio si il remplit la même fonction mais comment définir un alternative libre à une oeuvre? Ca n’a pas de sens qualitatif à mon sens.
Le but de cet article est, comme tu le dis en conclusion, de montrer la vaine entreprise que constitue la mission de l’HADOPI. Le partage de fichiers entre individus sans se soumettre à l’autorité ne devrait pas tarir.
J’écoute Sunflow en rédigeant ce billet et ce n’est pas désagréable bien que la techno minimaliste ou lente ne soient pas des genres que j’affectionne. Si t’as d’autres bons liens, je suis ouvert :p